Une institution montluçonnaise qui revit
Site mythique à Montluçon, le château actuel estampillé depuis peu Relais & Châteaux, a eu plusieurs vies avant de nous exposer aujourd’hui, son charme et sa sérénité incommensurables.
Site mythique à Montluçon, le château actuel estampillé depuis peu Relais & Châteaux, a eu plusieurs vies avant de nous exposer aujourd’hui, son charme et sa sérénité incommensurables.
Des fondations et une allure Moyenâgeuse, une chapelle quant à elle qui retient l’histoire et des bâtiments annexes dédiés à la gourmandise et à la détente.
Tout cela face au parc que les Montluçonnais s’approprient à chaque moment.
Un parc de 3 ha, dont 2000 m2 de pelouse, un étang bordé de 400 arbres sautent au-dessus d’un ruisseau, qui serpente sous de larges allées ombragées par de grands chênes, des tilleuls et un séquoia gigantesque.
Des chambres du château on a vue sur le parc et l’on aperçoit les cygnes noirs et les canards sur l’étang ; la nuit et au petit matin on peut entendre les oiseaux qui s’interpellent car ils savent que depuis 1998 le parc est un refuge pour la protection des oiseaux.
Imaginées par un architecte lyonnais, les 19 chambres et suites se trouvent sur les trois étages des parties contemporaines ou anciennes du château.
Dans la partie contemporaine, vous retrouverez les suites, au nombre de 6 dont 4 juniors suites, ainsi que les chambres classiques et supérieures.
Les deux suites de luxe se trouvent quant à elles dans la partie renaissance du Château.
Toutes ont une décoration contemporaine chic, moquette épaisse, tableaux de fleurs anciennes, buste sculpture de cheval sur bibliothèques, (clin d’œil à l’hippodrome situé à côté du château).
Au deuxième étage, les balcons courent le long des chambres et au troisième, les chambres mansardées font la part belle au design souhaité.
Toutes ont une vue directe sur le parc sublime et les salles de bains sont dotées de produits de chez Fragonard. Chaque recoin et chaque détail sont la caution d’un service parfait, élégant et raffiné.
Le restaurant gastronomique, de tout juste 22 couverts, a été délicatement posé dans l’ancienne chapelle des templiers désacralisée du XIIe siècle.
Sans toucher aux murs séculaires, mais au contraire, juste en les sablant pour faire ressortir le travail de la pierre, Patrick Jouin et Sanjit Manku ont joué avec les lumières, l’ambiance, le ressenti des murs et la sérénité monacale du lieu.
Le bénitier à l’entrée et la hauteur gigantesque du plafond, signent une architecture Romane remplie de charme. Une voûte en berceau, des arcs en plein cintre et léger sont présents pour une meilleure acoustique.
Lire la rivière, s’en imprégner, faire corps avec elle pour percer ses mystères et découvrir ses hôtes…